Mon cher camarade,
Une période pluvieuse tant espérée est enfin arrivée.
La pluie tombe par grosses averses aujourd’hui. La terre qui donnait des signes de grosse soif, s’imbibe à s’en rendre saoule, respire.
En Bresse, après la récolte de maïs, des fanes et des épis sans grain parsèment les routes en abondance. Le vent jonche le sol de feuilles mortes humides et me pousse trop fort. J’ai manqué chavirer.
Porter grande attention à ses roues, c’est faire demi-tour !